Au-delà de la qualité relationnelle qui est le lien entre la personne et le tennis, il y a bien évidemment le contenu de la séance. L'apprentissage, les progrès, les acquis sont les moteurs de la motivation. Avoir des nouvelles "sensations", se sentir plus efficace, trouver des solutions à un problème sont autant de facteurs qui alimentent nos pratiques. Cette dynamique n'est pas réservée aux enfants, elle est nécessaire,également, à notre vie d'adulte.
Dans mon enseignement, le point auquel je m'attache le plus est la mécanique du coup, l'ordre dans lequel doit être organisé le coup et la frappe (la chaîne cinétique).
Souvent les joueurs/euses sont très attachés à la progression "du geste" et ils ont raison. Parallèlement à ce travail, il me parait fondamental de travailler sur la base du coup (les pieds, les jambes, les hanches). Le geste du haut du corps sera d'autant plus efficace si le coup est déclenché à partir du bas du corps.
C'est un peu comme la partie visible de l'iceberg (haut du corps) et la partie submerger de l'iceberg, la plus importante (bas du corps).
Je suis attaché également au travail technique, les prises, les tenues de raquette, les orientations des épaules, les positions armées, la qualité des appuis et bien évidemment le jeu de jambe.
Tous ces changements sont sujets à discussion avec le joueur/euse. Je vérifie à tout moment qu'il/elle est partie prenante à ces changements.
Enfin (mais j'aurais pu le mette en 1er), je relie toujours ces travaux mécaniques et techniques au jeu, au travail tactique, là ou l'on doit mettre la balle. Cela peut être sur un travail de zone ou sur un travail d'enchaînement (jouer plusieurs zones à la suite). Parce qu'en fin de compte, ce que l'on recherche, c'est d'être plus efficace avec la balle.
Je peux répondre également à une demande de travail physique: aérobie, temps de réaction/vitesse, force musculaire, souplesse. Ce travail pourra être effectué sur le terrain de tennis en corrélation avec le tennis ou en dehors. Par exemple pour un travail aérobie, je pourrais utiliser les Alpilles soit en course à pied, soit en vélo.
Souvent les joueurs/euses sont très attachés à la progression "du geste" et ils ont raison. Parallèlement à ce travail, il me parait fondamental de travailler sur la base du coup (les pieds, les jambes, les hanches). Le geste du haut du corps sera d'autant plus efficace si le coup est déclenché à partir du bas du corps.
C'est un peu comme la partie visible de l'iceberg (haut du corps) et la partie submerger de l'iceberg, la plus importante (bas du corps).
Je suis attaché également au travail technique, les prises, les tenues de raquette, les orientations des épaules, les positions armées, la qualité des appuis et bien évidemment le jeu de jambe.
Tous ces changements sont sujets à discussion avec le joueur/euse. Je vérifie à tout moment qu'il/elle est partie prenante à ces changements.
Enfin (mais j'aurais pu le mette en 1er), je relie toujours ces travaux mécaniques et techniques au jeu, au travail tactique, là ou l'on doit mettre la balle. Cela peut être sur un travail de zone ou sur un travail d'enchaînement (jouer plusieurs zones à la suite). Parce qu'en fin de compte, ce que l'on recherche, c'est d'être plus efficace avec la balle.
Je peux répondre également à une demande de travail physique: aérobie, temps de réaction/vitesse, force musculaire, souplesse. Ce travail pourra être effectué sur le terrain de tennis en corrélation avec le tennis ou en dehors. Par exemple pour un travail aérobie, je pourrais utiliser les Alpilles soit en course à pied, soit en vélo.
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